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Commentaires "Père et fils à vélo-tandem"

11/4/13
Un article du journal La Tribune a piqué ma curiosité et m'a amené ici, sur votre blogue. Quelle belle aventure pour vous deux. De quoi semer l'envie voire même un brin de jalousie. J'ai 3 enfants et je sais que je n'aurai pas cette chance de vivre ce type d'expérience relationnelle parce que les petits-enfants sont arrivés et que chacun a ses obligations familiales mais soyez certains qu'une chose m'est possible soit celle d'écrire. J'ai aussi, depuis un certain temps, le goût de coucher sur papier une histoire. Votre histoire sera peut-être le commencement d'un paragraphe. Merci d'avoir partagé votre complicité !   


10/31/13
Je viens de traverser le Canada d’ouest en est en une seule journée! Un périple qui s’est fait tout en douceur en compagnie d’un père et de son fils. Impossible, me direz-vous! Pourtant c’est bien ce qui m’est arrivé en parcourant les 148 pages du livre Père et fils à vélo-tandem, publié par Réal Vigneau et Nicolas Cadorette Vigneau. Ces deux amants de la nature font saliver leurs lecteurs avec des témoignages percutants au sujet de leur épopée qui a duré soixante-six jours. Soixante-six jours sur le même vélo, il faut le faire, n’est-ce pas? Rien ne les arrête  : ils pédalent à travers champs et forêts, sous un soleil plombé ou sous l’orage, couchent sous la tente ou chez l’habitant, réparent la énième crevaison de la journée, etc. Et s’arrêtent pour capter des scènes à couper le souffle et rapportent des photos sublimes, témoins de la vastitude de ce pays, mais aussi de sa diversité géographique. Un livre à s’offrir en cadeau ou à offrir à toute personne qui rêve de partir un jour.

11/04/15
Bonjour à vous, Je viens de terminer votre livre en une seule respiration. Votre façon d'écrire, Réal, coule facilement. Ce qui m'a plut, c'est votre transparence dans l'écriture de vos états d'âmes. Vous avez démontré que l'on peut accomplir un rêve fou!   Pour ma part, j'ai seulement fais Sherbrooke-Magog et Sherbrooke Granby. Mais je sais qu'un jour je réaliserai quelque chose de grand. Depuis quelques années, une petite voix intérieure me propose plusieurs alternatives... Félicitation à vous deux pour avoir mené à terme (du rêve...au livre) votre voyage. Nathalie Châteauneuf, 46 ans et qui aime mouliner, mouliner, mouliner...



Commentaires "Au fond de la théière"


Bonjour Réal !

Voilà, j'ai terminé la lecture de ton livre.
Une magie !
Tout se lit si bien et si facilement : un art !
Merci pour le rêve !


André-Daniel Drouin










3 commentaires:

William Almonte a dit...

« Au Fond de la Théière » est une aventure a travers le temps et l’espace : de la Chine de nos jours, allant en arrière a la Chine d’il y a quelques milliers d’années, en passant par la Mongolie, le Japon, la Russie, le Taiwan de 1542, l’Angleterre de 1662, le Boston de 1773, la guerre de l’opium (1839-1860), la guerre de Crimée (1853-1856), le Maroc, l’Inde, le Ceylan, et le Canada, jusque le Taiwan au vingt-et-unième siècle; racontée avec une prose fluide et impeccable, par un petit génie appelé Theo Jasmin. C’est l’histoire fascinante du thé.

J’ai aimé beaucoup le style et la substance du récit. Mais ce qui m’a frappé le plus, ce n’est pas la connaissance profonde sur le thé que Theo a accumulé tout au long de sa vie millénaire, et dont il nous parle, mais la conscience qu’il a acquise sur la nature humaine. L’histoire du thé est intimement liée a la guerre. Les nations se sont battues pour en s’emparer; beaucoup des gens ont étés tués, et des peuples ont étés subjugués et exploités. Et bien que Theo raconte l’histoire du thé, avec qui il est profondément attaché, son récit est la admission du vrai prix du thé, et que la plus part de temps, la guerre n’est qu’une affaire, au bénéfice, bien sure, des classes gouvernantes.

Comme notre petit cher génie a dit :

« La guerre existe, c’est un fait et c’est toujours l’enfer; on ne sait jamais comment en sortir. »

« En effet, il n’y a jamais de guerre propre, c’est ni plus ni moins toujours une sale guerre ».

« Derrière cette beauté je ne pouvais pas m’empêcher d’imaginer toute la réalité des événements passés avec l’horreur des guerres et les milliers de gens tenus en esclavage qu sont mort pour… »

Mais la chose la plus importante que Theo nous apprend c’est qu’il y a toujours de l’espoir, que les choses peuvent changer, et qu il ne faut jamais perdre la fois dans l’humanité.

«La plus importante chose que j’ai apprise c’est que chaque geste de la vie est important. Encore plus important est d’en prendre conscience, de s’y attarder. Trouver la joie de vivre dans le moindre mouvement, et dans chaque élément.

« Tous les hommes sont bons; l’apparence de méchanceté n’est que le déversement de leurs souffrances sur autrui »

Unknown a dit...

Très bien fait Réal! J’ai beaucoup aimé de lire Au Fond de la Théière. C’est une histoire fascinante de thé à travers les siècles et c’était bien rempli d’observations sages sur la vie. J’ai trouvé l’histoire du petit génie enchanteur surtout ses voyages de la Chine jusqu’à Montréal. Continuez à écrire.
John Woodger

Anonyme a dit...

En voyage au Québec pour visiter ma famille, je suis tombé sur votre livre. 2ème livre que je lis sur l'histoire du thé. C'est fascinant. Ce qui m'a surprise c'est le nom de votre petit génie : Théo Jasmin!
Savier vous qu'à Beaugency, en France, il y a un Restaurant salon de thé qui se nomme "TEO JASMIN".
Danielle Ramacieri, France

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